Unser erster Ausflug von Zuljana aus führte uns nach
Dubrovnik.
Wie immer standen wir an diesem Tag früh auf und waren schon
um 8.30 Uhr unterwegs. Für die 80 km brauchten wir eine gute Stunde und
fanden, nachdem wir einem älteren Wohnmobilfahrer aus seiner Parklücke
geholfen hatten, dessen Parkplatz, keine 100 m von der Stadtmauer entfernt.
Sofort gingen wir durch das große Stadttor unter
dem Hauptturm in die Stadt und fühlen uns von den mächtigen
Verteidigungsanlagen nahezu erschlagen. Im Durchgang stießen auf ein
Hinweisschild, das auf die Zerstörungen von Dubrovnik während des
Krieges aufmerksam machte. Mittlerweile war jedoch alles wieder
repariert.
Über Treppen durch enge Gassen führte uns
der Weg auf den Hauptplatz, der sich vom Alten Hafen quer durch die
Stadt bis zur nördlichen Stadtmauer zieht. Hier befindet sich der große
Brunnen, das Franziskanerkloster mit einer der ältesten noch im Betrieb
befindlichen Apotheken Europas und ... der Aufstieg auf die Stadtmauern.
Wir beschlossen, diese noch vor der Mittagszeit zu besichtigen und lagen
mal wieder richtig mit der Zeiteinteilung, da sich nachmittags die Menge
der Besuchergruppen vervielfachte. Der Rundgang auf den Mauern um die
gesamte Stadt ist einfach ein "Muss". Beeindruckend!
Von hier aus ergeben sich Übersichten über die Stadt, das Meer und die
Umgebung.
Nach dem ungefähr 2 Stunden dauernden Rundgang
sehen wir uns den Kreuzgang des Franziskanerklosters an und bummelten
Anschließend, getrennt nach Männlein und Weiblein, 2 Stunden durch die
Stadt. Raphael und ich ergriffen die Gelegenheit, ein Internetcafé
aufzusuchen und unsere E-Mail Konten zu bereinigen.
Auch hatten wir noch genug Gelegenheit, da wir auf die Geschäfte nicht so
versessen waren, uns die vielen verwinkelten Gassen anzusehen.
Während wir zur Nachmittagszeit durch die oberhalb des Hauptplatzes
gelegene "Restaurant"-Gasse schlenderten wurde uns ständig
Plätze angeboten in den vielen Straßenrestaurants. Die Preise beliefen
sich alle auf 40 - 70 Kuna zwischen Cevapcici und Fisch. Wir zogen es
allerdings vor, uns die vielen Gassen anzusehen.
Nun stand die Entscheidung an, ob wir uns Dubrovnik
bei Dunkelheit noch ansehen wollten oder vor Ladenschluss die benötigten
Lebensmittel einkaufen und mangels einer Kompressorkühlbox die Rückreise
antreten mussten.
Nous
sommes partis le matin vers 9 heures, en longeant la côte . Après les 80
km qui nous séparaient de notre petit camping de Zuliana et de la ville
de Dubrovnik, nous avons tout de suite remarqué, de loin, l’imposante
fortification de la vieille ville. Bien sûr avant d’y arriver nous
avons dû traverser une partie de la nouvelle ville et affronter les
embouteillages.
Ensuite,
il nous a fallu trouver une place pour se garer. Il faut dire que nous
n’étions pas les seuls à avoir eu l’idée de faire une visite à la
perle de l’adriatique, comme ils se plaisent à le dire ici. Pour te
donner une idée, cette ville remarquable, m’a tout de suite fait penser
à Carcassonne,avec en plus, la mer adriatique qui baigne la moitié de
ses murs. La ville a subi d’importants dégâts pendant la guerre civile.
Un panneau, à l’entrée de la citadelle, nous montre un plan où
l’ont peut voir les bâtiments qui ont été détruits par les grenades
et les tirs au mortier. Les toits, surtout, ont beaucoup souffert. Mais,
heureusement pour nous, plus rien ne se voit aujourd’hui. La
restauration est parfaite si ce n’est que certaines toitures semblent un
peu trop neuves. Ils ont pourtant essayé au maximum de le faire avec des
tuiles anciennes.
Nous
avons fait le tour des remparts moyennant bien sûr un droit d’entrée.
De là, nous avons dominé toute la ville quadrillée par d’étroites
ruelles un peu comme les bastides du sud-ouest de la France. Et, sur la
moitié des remparts on a une vue admirable sur la mer et le vieux port.
Au loin , nous avons vu les gros bateaux de croisières d’où arrivent
par de petites navettes un flot de touristes. J’ai été agréablement
surprise de rencontrer plein de français et en particulier un couple,
dans la soixantaine, qui faisait justement une croisière sur un 5 mâts.
Ils nous ont raconté qu’ils ont essuyé une sacrée tempête quelques
jours plus tôt. ( en trois semaines, nous avons eu, en début de séjour,
un orage de faible intensité et une petite heure de pluie entre 6 et 7
heures du matin en fin de séjour. Fin de la parenthèse météo.) Suite
à cette tempête, le bateau ne pouvait plus hisser ses voiles. Un peu
dommage car Bernard aurait bien aimé faire une photo du monstre toutes
voiles au vent. Nous avons quitté, moi à regret, la ville vers les 18
heures car nous avions besoin de faire des courses pour remplir le garde
manger. Les enfants, je devrais dire les ados (Adeline me fait toujours la
remarque) en avaient assez d’arpenter les rues mais sans pour autant se
plaindre.
D’ailleurs,
ils ont été impeccables durant toutes les vacances et nous les avons félicité
pour leur comportement. Nous
avons rejoint notre camping bien fatigués et moi avec un petit coup de
soleil sur le décolleté.
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Orebic - Korcula
Der zweite Ausflug führte uns ins 40
km entfernte Orebic. Wir hatten uns ausnahmsweise für einen
Nachmittagsausflug entschieden da wir in Korcula Abendessen wollten um die
Stadt auch bei Beleuchtung zu erleben.
Beim Warten auf die Fähre sahen wir uns die zur Strandpromenade gelegenen
Häuser von Orebic an und blickten in die Gärten. Überall sind Zimmer zu
mieten.
Wir nahmen dann die Autofähre (was ein Fehler war, da es eine
Personenfähre gibt, die direkt zum Hafen der Stadt Korcula fährt).
Korcula selbst liegt auf einer
Halbinsel im Meer.
Zunächst fuhren wir hinunter in den Ort und dann daran vorbei. Auf einer
Höhenstraße hatten wir dann einen herrlichen Blick über die Stadt.
wieder hinunter fanden wir einen Parkplatz an einer Sporthalle vor dem
Ort. Zu Fuß schlenderten wir durch den Ort, schlossen uns kurzfristig
einer französischen Reisegruppe mit Führer an und erfuhren so von dem
angeblichen Geburtshaus Marco Polos.
Korcula ist Bischofssitz und hat somit eine Kathedrale die von der Größe
aber einer normalen Dorfkirche in Deutschland gleicht. In
Korcula fanden wir viele nette Gassen und gemütliche Gasthäuser. Diese
entsprachen allerdings auch preislich eher den im Hafen liegenden Yachten. Wir
beschlossen daher, nicht bis 22.00 Uhr, auf die Fähre zu warten sondern
schon um 20.00 Uhr zurückzufahren und unterwegs in einem kleinen Dorf
einzukehren.
Après
un jour de repos sur le camping de Zuljana et un matinée dans une petite
crique,
nous sommes partis faire une excursion dans l’Ile de Korcula (Prononcer
Kortchoula). Nous avons pris la voiture jusqu’à Oribic, une petite
ville qui se trouve en face de la ville de Korcula ( la ville principale
porte le même nom que l’île.) De
là nous avons pris le ferry .La traversée se fait en une demi-heure. La
ville de Korcula est très intéressante bien que toute petite. Les
voitures y sont interdites. Elle est bâtie sur une péninsule et possède
des restes de rempart. Nous
avons flâné le long de ses petites ruelles au grès de notre fantaisie.
Pour, tout à fait par hasard, faire la rencontre d’un groupe de
francais qui faisait une visite guidée de la ville.
Nous
avons infiltré le groupe et avons profité des explications données par
leur guide. Nous avons vu, ainsi, la maison de famille de Marco Polo. Les
« korculais » prétendent
même qu’il serait né ici et non à Venise comme il est dit dans les
livres d’histoire. Et, il n’aurait habité dans la cité vénitienne
que vers l’age de 15 ans, la quittant
deux ans plus tard pour faire
son long voyage en chine. Bataille entre les historiens dont on ne va pas
se mêler ! En tout cas nous avons vu sa maison qui va être restaurée
par un anglais qui veut y faire des appartements et ouvrir un musé Marco
polo dans une partie de la demeure. Pas fou l’anglais !!!
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