Der
Campingplatz
Zunächst suchten wir einen Campingplatz, da auf dem
Parkplatz zum Eingang 2 der Krka das Übernachten verboten ist (wird
kontrolliert).
Von der N 33 bei Tomilja Richtung Skradin, etwa 4 km vom Parkplatz der
Krka, liegt an der Straße der "Marina Camp". Dort stellten wir
zunächst unser Gespann ab. Die Platzbesitzer sind wirklich zuvorkommend,
freundlich und bemüht. Uns wurde sofort ein (deutsches) Buch über die
Nationalparks Croatien und Informationen zum Krka-Nationalpark und Sibenic
in die Hand gedrückt. Die Toiletten/Waschräume sind sauber und gefliest
mit warmem Wasser.
Auf dem Campingplatz gibt es ein
Restaurant und 6 Zimmer mit Bad. Der Baumbestand ist noch Jung und
Schattenplätze deshalb noch rar.
Der Campingplatz wird weiter ausgebaut und auch das Gästehaus noch
aufgestockt.
80 Kuna für 4 Personen incl. Strom waren
nicht zu teuer.
Da es auf dem Campingplatz ein Restaurant gab, beschlossen wir, nach
Durchsicht der Speisekarte, dort zu essen. Neben den landesüblichen
Grillspezialitäten (Lamm war wieder nicht dabei) gab es Kaninchen. Wir
bestellten das für den nächsten Abend und, um es vorwegzunehmen es
schmeckte, da auf Weinrebenholz gegrillt ... vorzüglich
würzig.
le camping
Ensuite, nous cherchons un
camping pour passer la nuit. Il est malheureusement interdit de le faire
sur l'immense parking, très contrôlé, de l'entrée 2 .
Nous trouvons notre bonheur un peu loin ( environ 4 km de l'entée 2) en
suivant la national 33 direction Skradin. Nous sommes caremment arrêtés
par le propriétaire du camping "Marina Camp" qui attend le
client sur le bord de la route. Nous lui trouvons une tête bien
sympathique et nous nous laissons embarquer. Le camp est, pour ainsi dire,
vide. Et, nous avons l'embarrras du choix pour nous installer. Les abres,
encore jeunes, ne procurent pas encore une ombre formidable mais nous en
n'avons pas besoin pour la nuit. Les propriétaires tiennent aussi un
petit restaurant et louent des chambres. Ils sont indiqués dans le guide
du Routard. Là, nous avons rencontré un bon nombre de francais (
Hélène est toujours bien contente de faire la causette dans sa langue
maternelle). La salle du restaurant qui est aussi l'acceuil du camping et
la maison d'habitation des gens, est très petite.Mais, elle posséde une
bonne terrasse dont une partie est couverte. Nos acceuillants
propriaétaires nous expliquent, en anglais, leur projet d'ouvrir un
restaurant dans des bâtiments déjà construits à quelques mètre de
là. il nous ont d'ailleurs , dès notre arrivée, prêté un livre sur
les curiosités de la région et nous ont donné de précieux
conseils pour notre prochaine visite.
das Gästehaus und das zukünftige Restaurant
der Platz
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Am nächsten Morgen um 08.30 Uhr waren wir am Parkplatz
zum Eingang 2 und fuhren mit dem zweiten Bus ins Tal. Der Bus war noch
nicht einmal zu einem Viertel voll. Dementsprechend waren wir an den
Wasserfällen zunächst fast allein.
In aller folgen wir nach rechts dem ausgeschilderten Weg über die
Knüppelpfade zum Skradinski Buk
Den großen Wasserfall heben wir uns, da wir dort Baden wollen, für den
Schluss auf.
Vorbei an kleinen Kaskaden durch dichten Wald bewegen wir uns vorwärts.
Ein klein wenig bin ich jedoch enttäuscht: nicht einmal die Hälfte der
"Becken" ist voll Wasser und die Pfade bewegen sich meist über
trockenen Boden. Wie mir später versichert wurde, liegt das an dem
trockenen Frühjahr und Sommer und an der späten Jahreszeit.
Wir werden also nochmals wiederkommen müssen.
Nichts desto Trotz ist der große Wasserfall, an den
wir zum Schluss gelangen, noch so schön wie vor 25 Jahren, allerdings
liegt im Wasser eine Sperrschnur und Schwimmer dürfen nicht mehr unter
die Fälle oder gar von diesen springen. Eine weise Entscheidung
angesichts der Verletzungen, die ich bei meinem ersten Besucht gesehen
habe.
Bevor die großen Busladungen kamen, bereiteten wir uns auf ein Bad vor.
Leider hatten wir unsere Badeschuhe nicht mitgenommen. Hätten wir auf dem
harten und raue Fels gebrauchen können. Das Bad war herrlich erfrischend, das Wasser trotzdem angenehm warm. Leide
ging es unseren Kindern nach einer Magen und Darmgrippe nicht sehr gut und
sie wollten nicht mit ins Wasser.
Als wir uns dann aufmachten, auf der anderen Seite des Wasserfalls den
Rundgang zu beenden, kamen eine Gruppe nach der Anderen aus der Richtung
Bootsanlegestelle und der Platz vor den Fällen füllte sich. Gegen 11.00
Uhr waren wir auf dem Campingplatz und besorgt kam der Besitzer uns zu
fragen ob es uns nicht gefallen habe. "Doch, schon, Aber zu viele
Leute um dort in Ruhe zu verweilen.
Er brachte uns dann eine Straßenkarte und zeigte
uns darauf, was noch vom Naturschutzgebiet zu besichtigen sei. Die Karte
durften wir mitnehmen und so begaben wir uns auf Rundtour. Die Kinder
wollten lieber auf dem Platz bleiben. Zunächst fuhren wir auf der N33 (Sibenik ->Knin).
An den Seiten der Straße sind Schilder mit Totenkopf aufgestellt, die vor
dem Verlassen der Straßen wegen Minengefahr warnen. Bei Konjevrat
verließen wird die Hauptstraße und folgten der Beschilderung zum Aussichtspunkt oberhalb des
Kloster Visovac und dann weiter zum Roski Slap. Als wir ausstiegen, wurden
unsere Eintrittskarten kontrolliert und wir bekamen eine kleine
Einweisung. Nachdem wir die liebevoll wieder hergerichteten Mühlen
besichtigt hatten (man kann dort auch essen), machten wir noch einen
Spaziergang entlang der "Mühlwasserkanäle", ein
ausgetüfteltes Regulierungssystem für die Wassermenge.
Weiter fuhren wir dann über die nur 2 m breiten
Brücken (hier war mal auf einer Insel ein Campingplatz) und dann eine 5
km lange Schotterstraße hinauf aufs Plateau. Weiter über Siritovci,
Laskovica, Rupe, Dubravice und Skradin ging es auf landschaftlich
interessanten Straßen zurück zu unserem
Campingplatz.
Le matin suivant , nous étions, dès 8
heures 30 , sur le parking de l'entrée 2. Nous avons pris nos billets et
nous nous sommes installés dans une des navettes. A cette heure,
bien matinale, les bus sont pour ainsi dire vides. Mais ceux qui aiment le
corps à corps peuvent attendre les prochains. .
Le bus nous lache à l'entrée proprement dite des chutes. Imposible de se
perdre, tout est bien balisé. Nous suivons les chemins en rondin de bois
qui serpentent le long de la rivière jusqu'à la cascade Skradinski. Nous
suivons les chemins qui l'encerclent prèsque et nous pouvons
l'admirer de tous les côtés. Sous la chaleur du soleil adoucie par la
végétation luxuriante de l'endroit et le bruit de l'eau nous nous
laissons griser. Bernard,lui semble un peu décu
car il a connu l'endroit il y a une vingtaine d'année avec beaucoup plus
d'eau que maintenant. Nous décidons de nous baigner.
Les enfants, encore
incommodés par la grippe intestinale, ne veulent pas nous suivre. Nous y
allons tout doucement car le fond est recouvert de roche très rugueuse et
comme des idiots nous avons laissé nos sandales de bain au camp. L'eau
est agréable mais nous n'y restons pas trop longtemps. Nous rejoignons la
berge pour ne plus faire souffrir les gosses qui nous ont regardés
pendant tout ce temps avec envie. En nous habillant nous constatons que
les visiteurs se font de plus en plus nombreux. Comme toujours nous sommes
à contre courant de la foule et nous décidons de rentrer.
Arrivés sur le camping le propriétaire semble étonné de nous voir
revenus si tôt. Il nous demande si cela nous a déplu. Nous lui disons
que nous fuyons la foule et que les petis veulent se reposer. Il nous
explique que l'on peut encore visiter une autre partie du parc et nous
donne une carte. Nous partons d'abord pour la ville de Sibenik (j'en
parlerai plus loin), puis nous ramenons les provisions pour nos petits
malades qui se jettent sur le coca et les bretzels avec joie. Puis nous
les laissons de nouveau pour suivre les indications de notre logeur
et faire la visite mais cette fois avec notre voiture. Nous empruntons la
N 33 entre Sibenik et Knin puis nous bifurquons sur une plus petite route
en suivant les panneaux qui indique le cloitre de Visovac. Sur le bord de
la route nous pouvons voir des pencartes où une tête de mort est
dessinée, suivi d'un texte où seul le mot "Minen" nous dit
quelque chose. Nous traduisons trés vite que le terrain au alentour est
sans doute miné? Nous ne voulons pas le vérifier et restons sur la
route.
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