depart 10.00 h
Zadar 576 km Arrivée
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Abfahrt 10.00 Uhr
Zadar 576 km Ankunft |
Nachdem wir uns morgens bei einer Tasse Kaffee von den
Kero's verabschiedet hatten, machten wir uns auf den Heimweg. Hinter Zadar
fuhren wir auf die Autobahn 1.
In mächtigen Schleifen windet sie sich das Gebirge hinauf aufs
Hochplateau. Die Route gewährt
imposante Ausblicke über die Mittelmeerküste.Nachdem wir einen Tunnel durchfuhren, ließen wir die Adriaküste und
die Sonne hinter uns. Es wurde merklich kühler, nur noch 12 °C und
wir sagten so bei uns:" ein Glück, dass wir die Plitvicer Seen auf
dem Hinweg besichtigt hatten. Das Klima ist
völlig anders. Bei niedrigen Temperaturen und bedecktem Himmel
beschließe ich, nicht über Karlovac sondern über Rijeka und Triest
zurückzufahren, um uns dort noch ein letztes Mal ein Bad im Mittelmeer zu
gönnen.
Le jeudi matin, nous avons quitté la punta vers 9 heures, sommes passé chez Editha où nous avons bu le café et sommes repartis vers 10 heures en direction du Nord. Après Zadar nous avons pris l’autoroute qui monte en long serpentin la montagne pelée, en laissant derrière nous, et à regret, la « belle bleue ». De l’autre côté nous attendait un tout autre paysage. Un haut plateau (1000 m d’altitude) boisé et peu habité s’étendait devant nos yeux. Au fur et à mesure que nous montions, la température est descendue (plus que 12°c) et la brume est apparue. Sur ce haut plateau où l’autoroute, en construction, s’arrête un petit moment (tunnel en cours de réalisation) nous avons dû emprunter les petites routes où les gens du coin, assis et emmitouflés dans leur manteau, attendaient les clients de passage pour pouvoir vendre leur fromage et autres spécialités. Nous sommes, de nouveau sur l’autoroute, redescendus, pour atterrir sur Rijeka (dernière ville importante avant la frontière Slovène et premier port de Croatie). De nouveau la mer et comme par miracle le soleil et la chaleur. A la frontière entre la Slovénie et la Croatie, nous avons fait une halte, en quittant l’autoroute, pour manger et ainsi dépenser nos derniers Kunas. Nous avons fait un bon repas et étions, une fois encore, les seuls à manger. Pourtant la terrasse de ce resto était immense. La propriétaire, parlant un peu allemand, nous a dit que depuis la nouvelle autoroute ils ont beaucoup moins de clients. Nous quittons le lieu, la panse pleine. Il est déjà trois heures. A la frontière, nous devons attendre un peu car ils demandent les passeports. Ils les regardent sans grandes convictions, plus par simple formalité et nous laisse passer. Nous roulons une petite partie en Slovénie où le paysage ressemble à celui de l’Autriche (celle que je connais).
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Park Miramar/Trieste
Vers 17.00 h nous sommes arrivés à Trieste. Nous voulions, une dernière fois, faire un plongeon dans l’Adria. On passe les environs de la gare et peu après commence les plages de la ville. Bernard continue dans l’espoir de trouver une place de parking assez grande pour y loger nos 10 mètres de convoi. Le hasard faisant toujours aussi bien les choses, nous arrivons dans un cul de sac avec parking (heureusement). Nous nous garons et nous nous changeons en vu de prendre un bain. Nous arpentons un petit bout de trottoir en bord de mer avant de trouver un accès à la plage. La plage est noire de monde bien que la fin de l’après midi s’annonce. Les bruns italiens aux regards masqués par les lunettes de soleil, en sont les maîtres. Il faut que j’y ajoute la vue sur Trieste, baignée par la lumière douce de cette fin de journée, si on se donne la peine de tourner la tête à droite. Nous nous y jetons sans plus attendre. Nous ressortons pour nous dorer au soleil encore chaud. Nous plongeons, une dernière fois dans la mer comme un dernier adieu. Puis nous allons sous les douches. Puis nous repartons par le trottoir qui longe la plage. Arrivés au parking, nous nous changeons, et nous nous dirigeons vers une porte en arc de triomphe. C’est l’entrée du parc Miramar (parc naturel protégé). Nous longeons une grande allée bordée, d’un côté par une colline boisée et de l’autre par un mur donnant sur la mer. Au bout se trouve un château de style renaissance construit sur un piton rocheux qui s’avance sur la mer. L’image est superbe, la lumière du soleil couchant, idéale pour Bernard qui mitraille l’endroit sur toutes ses faces. Nous rejoignons tout doucement la voiture, non sans jeté un dernier coup d’œil sur le soleil couchant.
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Rothenburg ob der Tauber Über Gailbergsattel, Lienz, Felberntauerntunnel, Pass Thurn Kitzbühel, Kufstein gelangten wir mit 10 Euro Tunnelmaut nach Deutschland und auf die Autobahn. Mitten durch München ging es Staufrei auf die A8 und dann geduldig eingereiht auf der rechten Spur (Überholverbot für Anhänger auf fast der gesamten Autobahn) bis Ulm und dann weiter nach Rothenburg. Dort gibt es am südlichen Stadttor einen Parkplatz für Wohnmobile, den wir ansteuerten. da wir erst gegen 18,00 h eintrafen war es schon ganz schön voll. Allerdings hatten einige WoMos in de Größe von Transportern sich mehr Platz genehmigt als ein Doppelstöckiger Reisebus. Ich parkte quer hinter zwei solchen Platzverschwendern und konnte so ohne Behinderung stehen. Wir wollten ja nur auf dem Platz parken und schlafen. In
Rothenburg wurden wir von einem Stadtfest überrascht. Zunächst gingen
wir etwas Essen und dann noch durch die Stadt bummeln. Am Morgen brachen wir nach dem Frühstück um 8.00 Uhr auf und erreichten Rietberg um 12.00 Uhr
Après cette récréation, nous reprenons la route vers le nord et l’Autriche, nous l’atteignons, quatre heures plus tard, car la route nationale n’est pas rapide à cause des nombreuses communes à traverser. Nous arrivons à Hermagor peu avant minuit et nous décidons de dormir sur le parking de Aldi (magasin que nous connaissons bien.). Nous avons dormi comme des bébés et le lendemain nous avons fait les 2 derniers kilomètres qui nous séparaient du camping à 8 heures du mat. Après le petit déjeuner nous sommes allés prendre nos douches dans les sanitaires grand luxe du camping. Quelle transition après nos douches de fortune. Donc après un repas de midi vite expédié, les femmes sont allées à Hermagor faire du lèche vitrine et les hommes sont restés sur le camping pour charger les photos sur le portable et je ne sais quoi d’autre. Le soir, nous sommes allés au restaurant du camping. Puis après un dernier verre au bar très fréquenté nous sommes allés rejoindre les enfants pour dormir. Le samedi matin, après le petit déjeuner, nous avons attendu que le soleil perce derrière les nuages, mais cela tardant à venir. Les gosses ont lancé qu’il serait mieux de prendre la route pour arriver plus tôt que prévu á la maison. Bernard n’avait pas l’air du même avis. Alors, c’est moi qui est tranché en proposant de partir sur le champ et de faire une halte à Rothenburg pour dormir.
Mon
compromis a satisfait tout le monde et à 11 heures nous étions sur la
route. Plus nous remontions vers le Nord plus le ciel s’est dégagé et
nous sommes arrivés à Rothenburg vers 18 heures pour assister au coucher
du soleil sur la ville. Nous avons garé le convoi á l’endroit que nous
connaissions déjà. C’est un parking pour camping-cars et caravanes où
l’on peut rester dormir. Nous
sommes de suite aller dans la vieille ville qui n’est qu’à
quelques minutes à pied du parking. Les remparts sont toujours aussi
impressionnants, et, en plus il se trouve qu’il y avait ce week-end là
la fête médiévale. Nous avons fait un tour dans l’enceinte de la
ville puis nos estomac criants famine, nous sommes allés manger chez les
Italiens. En sortant la nuit était tombée. Pour digérer, nous refaisons
un tour et, tout à coup, des fusées de feu d’artifice partent dans le
ciel derrière une des tours. Nous regardons le feu, dont une partie est
masquée par les remparts. Puis nous repartons vers le parking en croisant
la foule impressionnante de ceux qui étaient au courant du programme.
Nous ne pouvions pas rêver
mieux pour un notre dernière soirée de vacances.
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