Bibinje und Zadar

Entfernungen:

Bibinje - Zadar
= 10 km

 

distance:

Bibinje - Zadar
= 10 km

 

Bibinje

Einmal wieder in der Vergangenheit wühlen:
vor 25 Jahren war ich in Bibinje bei der Familie Kero, die in ihrem Haus Zimmer vermieteten. Diese hatten auch eine kleine Olivenplantage direkt am Meer, die den Hausgästen als Liegewiese zur Verfügung stand  und auf der auch Holländische Camper waren.
Ob ich die Familie wohl finden würde und ob die Plantage noch bestand.
Kurz vor Zadar verließ ich die Hauptstraße und bog nach Bibinje ab.  Ich erkannte zunächst nichts mehr wieder, dermaßen war dort gebaut worden (Dort ist der größte Marina der Adria entstanden).
Ich tastete mich zum alten Hafen vor und dann die Straße wieder hinauf. Die Straßen waren eng. Plötzlich sah ich die Rückseite und den Garten eines Hauses. Dort war es. Noch schnell um die Ecke und dann stieg ich aus. 
Frau Kero goss, wie vor 25 Jahren schon jeden Abend, die Blumen. Ich begrüßte sie und sagte meinen Namen (Familie Kero spricht deutsch). Langsam kam bei ihr die Erinnerung und sie rief ihren Mann und ihre Tochter herbei. Die Wiedersehensfreude war groß.
Frau Kero war mittlerweile Urgroßmutter und stellt uns stolz ihren Schwiegersohn, ihre Enkelin und ihre Urenkelin vor. 
 Die Zimmer vermieteten sie jetzt nicht mehr, aber auf der Olivenplantage könnten wir campen, Wasser und Strom gebe es dort nicht aber eine Toilette mit Meerwasserspülung.  Die Kinder guckten zunächst entgeistert. Wir wurde von unserem Gastgeber dorthin begleitet und er gab uns die Schlüssel zu einem in die Steilküste gebauten Zimmer, das die Kinder benutzen konnten. Kerzenlicht!! Kein fließendes Wasser!! Welch ein Schreck.
Als wir am nächsten morgen aufwachten, sah die Welt wieder besser aus. In einem Gebüsch richteten wir uns unser "Badezimmer" her und gesucht wurde mir "Solarduschen", gefrühstückt  auf der Terrasse mit Meeresblick und  und bei Sonnenschein war die Welt wieder in Ordnung. Ein Ganzes Terrain nur für uns allein, mit Privatstrand, welch ein Luxus.
Wir zogen den Bummel in der Altstatt vor und setzten uns am Hafen in ein Café. Abends kehrten wir noch Mal zurück um das Treiben auf dem "Marktplatz zu beobachten.
Morgens wollte ich dann das Dorf erneut erkunden und Hélène wollte das alte Fischerdorf sehen, von dem ich erzählt hatte. Mit einiger Mühe vom Hafen aus, hinter neuen Häusern versteckt, fanden wir dann endlich den alten Ortskern.
Zum Vergleich: vor 25 Jahren gab es ein Restaurant und einen kleinen Laden, jetzt gab es an jeder Ecke ein Restaurant, ein Café oder Geschäfte, eine große Schule mit neuer Turnhalle und viele neue, reiche Häuser.
Unser Gastgeber kam jeden Morgen, um nach dem Rechten zu sehen und ein bisschen die Angel oder das Netz auszuwerfen. Einen Morgen fischte er uns einen ganzen Eimer kleinster Fische, die ich dann nach seiner Anweisung mehlte und in der Pfanne fritierte- Abends luden wir die Familie Kero zu einem Grillabend auf "unsere" Punta ein. Beim Sonnenuntergang genossen wir das gemeinsam Abendessen.

 

Après l'excursion des Cornati nous avons repris la route pour aller direction Zadar, et, plus exactement, le village de Bibinje où Bernard avait le grand espoir de retrouver les personnes qui l’avaient hébergé 25 ans plutôt. Une petite heure de voyage et nous voilà dans Bibinje. Bernard ne reconnaît plus grand-chose, tellement ce petite village a changé. Finalement et avec l'aide d'un habitant Bernard a retrouvé la maison et, très excité, se demandait s’ils allaient le reconnaître. 
C’est une dame aux cheveux blancs qui vient lui ouvrir et Bernard se présente. La dame réagit après un moment de surprise et elle appelle sa fille, Editha, qui se trouve justement en vacance. Il y a aussi le mari d’Editha et les deux enfants (un fils de 11 ans et une fille) Isabella, la fille de 23 ans tient un bébé de 4 mois dans ses bras. Nous avons entre temps fait notre entrée, Editha très chaleureusement nous propose à boire et nous présente sa petite fille Maria avec fierté. Puis, Bernard et Editha  font remonter les souvenirs à leur mémoire et chacun parle aussi de sa vie. Le père d’Editha fait tout à coup son entrée. Il  était à la pêche. Il est lui aussi agréablement surpris et parle dans un allemand avec accent autrichien. Il  appelle Bernard  « Berndl » ce qui veut dire petit Bernard. Il nous dit qu’ils ne font plus Chambre d’hôtes mais qu’ils ont toujours « la Punta ».
La Punta (qui signifie la pointe ou le cap en croate) est leur terrain, planté d’oliviers, au bord de la mer et qu ils utilisent comme camping.  Il nous propose, donc, de nous y conduire. Le terrain se trouve à 2 ou 3 km de sa maison et surplombe la mer. Nous y arrivons sans pouvoir rien voir car la nuit est déjà tombée. Sur son terrain, il s’est construit, en creusant dans la falaise une chambre avec WC et douche. Seul manque encore l’électricité et l’eau. Nous visitons l’endroit à la lumière de la torche. Il y a là, un canapé-lit,  une table, deux chaises et dans un des coins, un évier et un réchaud. Dans le fond  les toilettes avec douche. Il nous dit que si les enfants veulent y dormir ils le peuvent. Les deux sont d’accord, cela leur évite de monter la toile de tente.
Le lendemain, un dimanche, la curiosité me fait sortir du lit très tôt et sous le soleil levant je me dirige, quelques pas plus haut, sur une terrasse bétonnée d’où je domine la mer. Je m’assieds sur le petit muret et je regarde en bas. Un quai de deux mètres de large  arrête la mer. Je décide de prendre l’escalier qui est couvert  pour descendre jusqu’à la chambre où dorment les petits. Je suis de suite sur l’autre porte qui donne sur le quai et la mer. Je me rends compte après ce tour d’horizon du travail de titan qu’a dû fournir le brave Roco pour s’aménager cette terrasse et cette pièce. Il faut dire que c’est son métier. Tout de même, chapeau !! car il a tout fait lui-même, peu à peu. Sans grand moyen financier, il a réussi à force de persévérance, à se faire un joli petit nid. Il y a 25 ans, tout cela n’existait pas. Bernard est, lui aussi, impressionné du résultat.  Il est venu me rejoindre, en bas, et me montre un peu plus à droite l’ancien accès à l’eau. Nous remontons et décidons de nous installer sur la terrasse pour prendre le petit déjeuner. Pendant la matinée Roco arrive et nous explique un peu la situation après la guerre.  Il nous fait voir sa voiture, une 4 L de 27 ans, qui  l’a conduit, voilà  4 ans, jusqu’en Autriche.  Puis il s’en va aussi discrètement qu’il est venu en nous disant que si on avait besoin d’eau, on pouvait à tout moment aller en chercher chez lui. 

En fin de matinée, nous allons en chercher et nous en profitons pour les inviter à venir manger, le soir, avec nous, sur leur terrain puis faire les achat dans un hypermarché vers Zadar .L’après midi, nous nous baignons et je prends, nue comme un ver, un bain de soleil sur la terrasse. Pendant ce temps, nous avons mis de l’eau à chauffer dans des poches prévues à cet effet en vu de prendre une douche en plain air dans un petit coin des buissons.
Le soir ils arrivent Nous prenons l’apéro, et le soleil se couchant, nous déplaçons la table sur la terrasse. Le repas fini nous mangeons les gâteaux apportés par nos invités. La soirée continue en discutant face au soleil couchant. Les gosses se replient dans la caravane pour jouer aux cartes. La nuit tombe très vite, dès que le soleil passe derrière les monts de l’île d’en face. Nous allumons des bougies et la lumière douce incite à la rêverie et aux confidences. Editha me dit qu’elle est très contente d’être là et je la trouve éminemment sympathique. Elle a un très beau physique et de grands yeux sombres à la Claudia Cardinal.
Ils sont repartis à la nuit noire, en nous donnant rendez-vous pour le lendemain en vue de visiter Zadar:
 
Le mardi matin, Roco vient pour nous faire une petite pêche de friture. Nous avons tous regardé comment il fait. Il a trois fois laissé tomber sont filet avec de la viande á l’intérieur pour appâter. Il laisse le filet 5 à 10 minutes, il le remonte et le dépose sur une toile cirée posée sur le sol. La petite friture se tortille et nous la déposons à la main dans un seau rempli d’eau.
 
 

après 25 ans j'ai retrouvüe la maison ou j'avait logé
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die Punta

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  Zadar
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 Editha, die Tochter war früher Reiseleiterin gewesen und bot sich auch jetzt an, uns nach Zadar auszuführen. Es schlossen sich noch Arbeitskollegen ihres Mannes und ihr Sohn an und so waren wir eine kleine Besichtigungsgruppe für die Stadt. Gewusst wo: wir parkten gratis in der Nähe des Stadtzentrums und gingen zu Fuß in die auf der Halbinsel  gelegene 3300 Jahre alte Halbstadt, die noch von einer (befahrbaren) Stadtmauer umgeben ist. Natürlich gingen wir zunächst auf den Markt: Obst, Gemüse, Honig, Kräuterliköre und der große Fischmarkt mit einer Unzahl verschiedener Meerestiere.
Ich vermisste, gegenüber vor 25 Jahre, die Stände mit den  Kunsthandwerkern. Ich hatte mich darauf gefreut, Gegenstände aus Olivenholz, Brettchen, Schüsseln, Geschirr zu kaufen. Nichts! nur zwei Schachbretter und viele gehäkelte Deckchen.

Es gab auch keine Marktstände mehr mit Silberschmuckarbeiten und Hélène wollte ein Armkettchen für Melanie kaufen. Editha war uns behilflich, in einem Geschäft den Preis auszuhandeln.
Anschließend wollten die beiden anderen Familien essen. Wir waren allerdings gewohnt, mittags nur unser Obst und Joghurt zu essen und so nutzten wir die Gelegenheit, nochmals alle kleinen Gassen und die Plätze in Ruhe anzusehen. Viele römische Spuren sind noch zu sehen und in einem Museum ausgestellt. Wir beschränkten uns auf den oberflächlichen Eindruck, gingen in kleine Gasse und entdeckten kleine Schmuckstücke in Hinterhöfen. 

Während Adeline und Hélène sich mehr für die Bekleidungsgeschäfte interessierten, war der Hafen  für Raphael interessant . Außer zwei Tragflächenboote und einer riesigen Segelyacht waren allerdings keine interessanten Schiffe im Hafen und so gingen wir zum Tourist Office und besetzten für 45 Minuten den Internet-Terminal.
 

Le lundi matin nous les avons suivis en voiture. Heureusement, que nous avons décidé de faire la visite le matin car, déjà, les places pour se garer se font rares. Nous continuons à pied jusqu’au centre. Editha est ravie de nous montrer sa ville. Un collègue de son mari et sa femme nous accompagnent aussi. Nous visitons en premier le marché et en particulier les halles aux poissons. 

Zadar est une ville intéressante et très vivante. Dans les petites ruelles commerçantes nous cherchons les bijoux en filigrane. Les prix sont en fonction du poids. Adeline, qui connaît les goûts de Mélanie en choisit un et l’affaire est faite. Nous revenons à la Punta en se promettent de revenir à Zadar demain pour pouvoir faire des photos. Nous passons l’après midi tranquille à écouter les cigales.

Le mercredi nous y sommes revenu pour, ce fois toute seule, regarder la ville. D'abord ensemble, après Hélène et Adeline se sont séparer de nous pour regarder les magasins des fringues et nous, Raphaël et moi, pour faire des photos et  ...   faire l'Internet dans le bureau de l'office de tourisme.

 

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Nach einer Stunde trafen wir uns dann wieder auf dem Marktplatz, um auf unsere Punta zurückzukehren. Eigentlich wollten wir abends noch mal in die Stadt aber da kam Walter, der Mann von Editha und lud uns zum Essen für abends ein, was wir natürlich gern annahmen. 

 

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Der Abschied nach 4 Tagen von Bibinje und von den Netten Bekannten fiel uns schwer, zumal er auch das Ende der Ferien ankündigte.
Jedenfalls hatten wir eine alte Freundschaft wieder aufgefrischt und versprachen, das nächste Wiedersehen nicht 25 Jahre warten zu lassen. 
Kroatien ist es Wert, öfter und intensiver besucht und besichtigt zu werden.
Viele Sehenswürdigkeiten hatten wir unserer Rundfahrt einfach rechts und links liegen gelassen.
Ähnlich Frankreich, werden wir uns in Zukunft jedoch kleinere Regionen aussuchen und uns mit diesen intensiver beschäftigen. Außerdem soll ja auch das Baden (Schnorcheln)  in der Adria nicht zu kurz kommen.

 

L'au revoir des amis retrouve n'étais pas facile en plus il signalisait le fin de nos vacances.
De tous manière Bernard a promis de ne pas attendre encore une fois 25 ans pour les revoirs. 

a Croatie le vaux bien de la visiter plus souvent et plus intensive. Il y avait beaucoup à droite et à gauche de notre chemin, que nous avons pas visité pendant notre périple.

Comme nous avons fait en France il faut qu'on visite reste dans une petit région pour la visiter. En plus il faut profiter de la mer adriatique pour se baigner et plonger.